samedi 29 décembre 2007

Faux show et vrai bar à chocolat !

"Déclinaison Chocolat en bar à cacao"

Parisianisme et renommée font décidément très bon ménage… Nous apprenions
le 16 novembre dernier, que l’alsacien Pierre Hermé, allait ouvrir le premier
bar à chocolat au Stade de France. Et selon les propos du maestro «pour être dans le registre de l’expérience gourmande unique»... Oui mais surtout éphémère !

Unique, en effet, aura été l’expérience des « happy few » qui auront pu assister à cet évènement orchestré par … Côte d’Or, pour peu qu’ils aiment : le foot,
le chocolat industriel et/ou aient pu accéder aux loges « carré or » du Stade.
Car il s’agissait d’une opération d’un jour seulement avec trois créations pour le match France-Maroc !… Très bien, M. Pierre ajoute une page à son book certes, mais nous on se sent un peu chocolat dans l’histoire, non ? Quid de la vraie expérience gustative chocolatée dans un « vrai » bar ouvert au public ?

Hopla, pour cela direction Strasbourg chez « Déclinaison chocolat » Bar à chocolat dont on m’a parlé cette année et ce, bien avant le « one shot »
de M. Pierre.





« Christophe Gross -autre confrère alsacien !-, chocolatier-pâtissier et fils
de chocolatier a ouvert depuis l’été dernier son bar à concept. Un petit univers très tendance dans cette ville traditionnelle : ambiance blanc courrèges, un espace comptoir donnant sur la rue passante et un coin canapé pour les familles.

En attendant que l’on vous place -le lieu est petit et la foule se presse- se pré-
sentent à vous 22 sortes de chocolats au choix, autant de ganaches dans des bacs à glaces, qui seront roulés en boules dans la tasse, prêts à vous être servis chauds !!

















D’ailleurs, notre chocolatier en bar a tout étudié, jusqu’à la cuisson du lait qui ne dépassera pas les 75° afin de rester digeste et de nous permettre de goûter ses autres créations gourmandes.

Voici la commande : Grand cru des Caraïbes et Chocolat-Anis pour le chaud -fève subtile et légèreté en bouche ; Le Finger, gâteau au chocolat noir et blanc, thé vert accompagné de son coulis framboise-verveine -dense et coloré, il se suffit à lui-même ; un trio de macarons afin de goûter à la créativité de l’’équipe Gross : chocolat-gingembre -classique, truffe blanche et pignons -très raffiné et parfumé, avocat banane -bizarre … et aussi un bouchon de chocolat en brochette !

De quoi devenir un véritable pilier de bar, accro au chocolat et ses déclinaisons réservées à… tous !!!

En attendant, pour ceux qui restent ou passeront par Paris, vous pourrez aller faire un tour chez Mauboussin qui vient d’aménager un Chocolate Lounge au premier étage de sa boutique « very chic » ou passer chez Angelina réputée pour sa chocolatière en étain !

www.declinaison-chocolat.com
www.mauboussin.com
Angelina 226, rue de Rivoli - Paris 1

samedi 15 décembre 2007

Coup de food en royaume saxon !

« Fabulous packs »

Je persiste à dire que si la cuisine anglaise n’a pas bonne réputation, c’est que
ceux qui la colportent n’ont rencontré que des mauvaises cuisinières. Si, si, les
légumes bouillis, les jacket patatoes et autres pies peuvent avoir beaucoup de
goût et de charme bien cuisinés. Et essayez d’imaginer du corned-beef en sandwich avec quelques rondelles de tomates et de laitue, un peu de mayo… humm délicieux !

Bref, celà pour vous inviter à faire un tour en terre anglo-saxonne pour un petit aperçu de l’état de l’art en packaging et design côté food please !

En effet, s’il y a bien un domaine où les Anglais excèlent et qui met d’accord tout
le monde : c’est leur pertinence directe et leur humour en termes de communication publicitaire. Et en design packaging, la cerise sur le gâteau, c’est une esthétique superbe et souvent inégalée !!

En regard de nos sacro-saintes nourritures festives de fin d’année, faisons donc bombance visuelle -que du plaisir sans indigestion- avec ma sélection des Food
& Beverages Awards.

Déjà 10 ans d’existence pour ce programme international qui se concentre sur
la créativité autour des marques alimentaires et récompense les meilleurs dans
9 catégories (BRSA, Pet food, produits laitiers, etc…).

Mon coup de food graphique va au Root : 1 Red Wine, vin californien.
Quel sera le vôtre ?

Bon appétit… des yeux !! Et bonnes fêtes graphiques !





Le site pour y découvrir les autres media : www.fabawards.com

mardi 4 décembre 2007

Le confit de Robyn

"La danse, les pieds dans le plat"

Alors, toujours dans le souhait
de vous ouvrir à d'autres horizons chorégraphiques, je vais vous parler de Robyn Orlin, enfant terrible, -blanche de surcroît -
de la danse sud-africaine.

Turbulente assumée depuis 1980, pour elle, la danse ne vaut que si elle touche à la réalité complexe de son pays. Par conséquent : guerre à l'héritage colonial du ballet classique ; compagnie composée de danseurs noirs, blancs, jeunes, vieux ; classiques du théâtre revisités "Orpheus,...
I mean Eurydice..., I mean the natural history of a chorus girl" ; pièces qui en disent long sur son engagement comme "If you can't change the world, change your curtains" (apartheid) ou "we must eat ou suckers with the wrappers on" (sida) et... bien d'autres encore en collaboration avec des artistes ou compagnies étrangères.

Néanmoins, si ces thématiques du politique peuvent vous sembler très sérieuses, les
mises en scène de Robyn Orlin ont une constante. Celles d' y associer la vidéo, le
texte, les arts plastiques et d'interagir avec le spectateur avec beaucoup d'humour. Chaleureuse, drôle et inédite, elle converse avec tous types de publics.

Et pour "Confit de Canard", sa nouvelle création, elle va nous entraîner dans un spectacle-parcours qui prendra possession du bâtiment. Elle, qui est en résidence
au CND de Pantin depuis 2005, que va-t-elle donc nous réserver ? Une vision de la France à la sauce Robyn ? Car elle a dû en voir et entendre des choses depuis... Quoi qu'il en soit, je suis sûre que sa vitalité impertinente saura toujours vous surprendre.

Le confit de Robyn, plat de saison à savourer les 13, 14 et 15 décembre prochains.
* Centre National de la Danse de Pantin. wwww.cnd.f

mardi 27 novembre 2007

Décryptages culinaires


"Nourriture, littérature, culture"

Enfin, après un intermède estival jugé plutôt long pour ma part, ma galerie Fraîch’Attitude va rouvrir demain. Cela valait vraiment la peine d’attendre en nouveautés.

Pour les néophytes, la Galerie Fraîch’Attitude est un lieu d’expression artistique
« alimentaire ». Arts graphiques, mode, design, photographie… tous les univers d’expression sont explorés pour nous surprendre dans leur contemporanéité et
faire évoluer notre perception de la nourriture.

Car qui se cache derrière, ce lieu de culture ? L’Aprifel -l’Agence Fruits et Légumes Frais- qui nous pousse à consommer 5 à 10 fruits par jour ! Pour ce faire, tous les moyens sont bons dont cet espace d’exposition et de création d’art contemporain.

Tout d’abord, l’exposition de rentrée « Alchimistes aux fourneaux » proposée
par l’agence Vu.

Avec, pour nous parler de gastronomie et de cuisine d’aujour-
d’hui, une farandole de grand chef, de chimiste en gastronomie moléculaire et de photographe de talent se retrouve autour d’un texte du XVIIè siècle. Ainsi, Pierre Gagnaire, Hervé This et Rip Hopkins décryptent et interprètent de façon inédite « Les Délices de la campagne » écrit par Nicolas de Bonnefond, le valet de chambre de Louis XIV.

La « foodothèque », quant à elle, est un nouvel espace de documentation dédié aux ouvrages liés à la cuisine… des fruits et légumes. Un vrai lieu de consultation libre en perpétuel mouvement : livres actuels ou anciens, supports variés, discussions et dé-
bats thématiques, signatures… La Foodothèque résonne comme en écho à la cuisine Fraîch’attitude, autre lieu d’expérimentation pratique où des cours sont dispensés.

Je vous recommande d’aller faire un tour dans ce tryptique culinaire,
vous en sortirez rafraîchi !

Galerie Fraich’attitude et Foodothèque du mardi au samedi de 13h à 19h.
www.galeriefraichattitude.fr

samedi 24 novembre 2007

Senteurs essentielles


"Consultation olfactive"

Sa carte de visite avait attisé ma curiosité et mon attention par une approche psychologique des odeurs via des consultations et ateliers d'optimisation.

Et celà, d'autant que les senteurs ont toujours été pour moi un véritable besoin de me retrouver, dans notre environne-
ment saturé de bruits, d'images et d'odeurs subis.

Alors, qui est Claire Fillon ? Elle est nature bien sûr. Vade retro artifices en senteurs et autres arômes de synthèse !

Nez et tête chercheuse de la quintessence des odeurs, professeure es plantes arômatiques supra naturelles, Claire est passionnée par leurs utilisations dans les croyances et traditions du monde. Ses études très arômatiques, sur l'impact des odeurs sur le comportement et le bien-être, ont été validées par des chercheurs
au Cnrs. Pour sûr, avec cette femme là, je n'allais pas me retrouver à renifler des languettes en papier jusqu'à en éternuer, mystère, mystère...

Aujourd'hui, il est dit en marketing que le consommateur cherche à vivre une expérience... Et bien, il était temps de vivre la mienne, totalement choisie et assumée, en tête à tête avec Claire pour une consultation olfactive.
Le rdv est pris pour en découvrir plus.

1h30 plus tard, je ressors "en-sensée" avec ma fiche personnelle, véritable bouquet d'arômes.

Comment ? Vous vous attendiez à ce que je vous décrive séance tenante tout ce qui s'est passé ? Et quid de l'effet de surprise si je vous dévoile tout ? Ce que je peux vous souffler, c'est que j'ai sélectionné, humé, choisi, classé etc... au moins une cinquantaine d'huiles essentielles qui peuvent vous mettre dans un état de senteur proche de l'apesanteur ou du dégoût radical !

En attendant, Claire prend note de ce qui se passe pour établir votre profil olfactif.
Mais chut, je ne vous en dirai pas plus car chaque histoire est unique, tout comme chaque plante a sa caractéristique.

Senteurs refuge, senteurs booster, senteurs curatives, elles entreront en résonnance avec vous, au plus vrai de vous-même pour "parfaire" votre épanouissement.

Comme le dit si bien Claire : " Les plantes on besoin d'un bon terreau pour s'épanouir. Alors
de quel environnement olfactif avez-vous besoin pour produire de beaux fruits ?"

A offrir ou s'offrir, pour faire le point autrement ou lors des changements de saisons.
www.innovationolfactive.com

vendredi 16 novembre 2007

Paris-Tokyo

« My flat is my garden »

Allez pour une fois, je vous livre un petit peu de ma personne et de mon chez moi
en images !

Le mois dernier Keiko est venue chez moi photographier mon intérieur… et…
je suis dans le numéro de novembre du magazine féminin japonais Frau !!
Profil : les jeunes femmes trentenaires et urbaines vivant dans de petits espaces
« nihon way of life ».



Et j’en ai profité pour faire le « making of » pendant les prises de vues, rien que pour le plaisir des yeux...


Mais comment fait-on pour mêler espace rikiki et goûts personnels ? Et, bien on fait avec ! Ce qui n’empêche pas les « turbulences visuelles » qui ne figurent heureuse-
ment pas dans le reportage…

Mon appartement paraît bien grand... Les avantages du grand angle sûrement !

jeudi 15 novembre 2007

A table !!


"Repas pour 6 danseurs et une claveciniste"

"Le repas" de Nathalie Pernette : 2 jours de représentation sur Paris au Théâtre des Abesses, c'est vraiment peu ! Les places ont été prises d'assaut, par conséquent, imaginez l'intérêt pour cette artiste...

Danseuse et chorégraphe singulière - mais qui n'est pas singulier en danse contemporaine, me direz-vous !!-
N. Pernette et sa compagnie Association A, nous invite à participer à un repas dansé. Expressions révélées et mouvementées de nos vécus d'attablés, elle "ose" jouer avec les objets, inventer des partitions buccales, révéler nos désirs et troubles... L'exploration est vaste et parfois... ça dérape.


Humour, gravité, frénésie tout converge et évolue autour, en dessus, au dessous, de cette table dressée, jamais servie et sans aliments. De quoi réveiller l'imaginaire, même si pour certains, la danse contemporaine peut paraître abscons.


Si vous avez l'occasion de voir "Le repas", les 28 et 29 mars 2008 au Théâtre des Bergeries à Noisy-le-sec, ce tour de table vous rappellera quelques souvenirs.

Le programme de sa tournée en France sur www.evene.fr

lundi 12 novembre 2007

La Cité des Innovations

"Compléments d'histoires innovantes"

Comme à La Cité des Sciences et de l'Industrie, on ne fait pas les choses à moitié : L'Observatoire des innova-
tions, exposition permanente, met en gros plan -au sens propre comme au figuré !- quatre innovations.
Les premiers invités en sont le carbone-carbone, le verre progressif Varilux, l'innovation en gare et l'artisanat.

A faire dans la foulée , car cette exposition complète autrement celle "des objets design de l'Observeur". www.cite-sciences.fr

jeudi 8 novembre 2007

Le design dans tous ses états

"Think different"

La Villette est, pour moi, un lieu d'enrichissement hautement fréquentable !
Cultures artistiques et techniques y font bon ménage et interrogent le monde qui nous entoure. Prenons le design, une des mes affinités électives, et direction
La Cité des Sciences et de l'Industrie.

"L'observeur Design", pour sa 8ème année, a sélectionné environ 200 produits et services de notre quotidien dont l'ecclectisme va vous faire penser autrement à son apport. En effet, le design n'est pas qu'esthétique, futile voire commercial. Il est la composante d'une réflexion globale dont l'individu est le centre.

La démarche est plus complexe qu'on ne le croit et l'exercice nécessite l'observation de nos habitus et usages pour proposer de nouveaux scénarios de vie. Créer de l'émotion, améliorer notre qualité de vie, matérialiser une innovation est le résultat d'un travail de groupe qui intègre de plus en plus d'autres experts tels qu'ethnologues, philosophes, responsables marketing...


Finalement, le design n'aurait pas lieu d'être si nous n'étions pas son principal dessein !

Lors de votre parcours, vous découvrirez l'empreinte design dans des secteurs allant de l'électroménager à l'alimentaire en passant par le sport -il y a pléthore de produits Decathlon, activateur d'innovations !-.

Faire un tour à "L'observeur Design", c'est un premier pas pour changer de regard sur notre environnement. Comme il est dit "Le design pense à vous. Et si vous pensiez au design ?"

Cité des Sciences et de l'Industrie jusqu'au 27 janvier 2008
www.cite-sciences.fr

dimanche 28 octobre 2007

Cot, Cot, Codè !

« Tendance cocotte »

Bonjour gallinacés, vous courrez libres dans les prés (pour certains …) pour que l’on déguste votre chair ferme et ténue ? Et bien, nous bipèdes humains, urbains et pressés, nous avons fait nôtre le terme affectueux de cocottes cette année !!


Le ton a été donné depuis la Pâques dernière -hasard ?-, par le Chef Christian Constant qui aligne ses restaurants rue St Dominique, comme des œufs dans leur carton. Son dernier né : Les Cocottes. Grâce à lui, l’ustensile en fonte de nos cuisines s’exhibe et devient un nouvel « art de table ». Les plats principaux vous seront servis à même la casserole. Merci aux pionniers alsaciens de la vraie cocotte, j'ai cité : Staub !

Là-bas, fi d’une ambiance présupposée traditionnelle, vous serez accueilli dans un lieu façon bar new-yorkais sur tabourets hauts et avec dégustation au comptoir. Ainsi, du haut de vos ergots, vous pourrez tout à loisir et sans réservation -très bonne initiative de grand chef- déguster une gastronomie rapide et pas trop chère -. Cependant, gros estomacs s’abstenir !!

Du 7ème chic et vivant, nous passons au 10è populaire et bobo où La Cocotte, nouveau lieu cultivé et gourmand s’est installé rue Paul Bert , fief de quelques restos Slow Food. Tout commence par trois « poulettes », créatives de métier et d’âme, qui ont décidé de mettre en commun leur passion pour la cuisine et le partage.




Dans cette petite librairie-salon de thé, la sélection de livres éclectiques et pointus ravira les curieux de goût avec dédicaces, goûters-lectures et autres rendez-vous ateliers…pour petits et grands. S’y côtoient aussi des objets de cuisine et des créations textiles à l’effigie des cocottes inspirées.








Et si vous avez un petit creux, pourrez aussi goûter les coquetines -petits sablés à la confiture de lait-, qu’Andréa, la cocotte en chef d’origine argentine vous aura concoquetées (ouf !!).



A mon avis, il ne manquait plus que Chicky et Chucky de la collection « drôles de bêtes» de Sigikid pour apporter une touche autrement câline à ce lieu sympathique. L’une étant coquette night-clubbeuse et l’autre une "old" cocotte toujours au courant des derniers potins de basse-cour.
D’ailleurs, ils précisent bien que toute ressemblance avec quelqu’un de votre entourage ne serait que pure coïncidence… s’il vous prenait l’envie d’en offrir !



Et bien en touche finale, ma cocotte à moi, c’est une poulette qui vient de loin. Japon oblige, est elle très kawaï -c-à-dire mignonne- tant dans sa forme que son emballage. C’est un sablé croustillant et ludique qui se mange sans fin. J’en ai juste gardé un pour la photo !!


Maintenant pour être « trendy », soit vous picorez dans la ville, soit vous réapprenez à faire des cocottes en papier… au chaud dans votre nid !


Les Cocottes - 135, rue St Dominique Paris 7. Pas de téléphone bien sûr !!
La Cocotte, librairie du goût - 5, rue Paul Bert Paris 10
www.sigikid.de

dimanche 21 octobre 2007

Actions à Forte Valeur Positive !



" Semons les petites graines du changement "


Résistance au changement ou lutte forcenée pour défendre ses acquis ?
Les deux jours de grève intense et paralysante n'ont fait que déclencher ras-le-bol injurieux, cacophonies infructueuses, comportements inconscients
(se coincer entre deux wagons !) et autres étouffements...

Vite de l'air !

Pour positiver et se gonfler d'énergie entreprenante, abonnez-vous à la newsletter de "Graines de changement". Depuis 2003, cette agence d'information porte
un regard innovant sur les nouvelles, en faisant le pari de communiquer sur des contenus à Forte Valeur Positive. Plus précisément, des informations sur les "entrepreneurs du meilleur". Ceux qui, riches d'expériences et d'initiatives
font avancer le monde de manière positive et responsable.
De quoi vraiment prendre exemple, non ?

Si ce nouveau regard informatif n'est qu'une petite graine dans un champs d'infos à sensations, elle peut être le grand début d'un changement de notre mode de pensée et d'action. A bon entendeur... Semez !

Faites savoir que les bonnes nouvelles existent belles et bien !!

www.grainesdechangement.com

jeudi 11 octobre 2007

La Pizza portable




"Je veux bien un cône !"

Je l’avais déjà repéré sur le bord d’autoroute entre Paris et Besançon
le printemps dernier et voilà qu’elle commence à faire parler d’elle.
Sera-t-elle aussi vendue dans les gelateria comme sa consoeur la glace ? Car, de même origine et d’inspiration, la pizza va pouvoir maintenant se déguster en cône ou plutôt en cornet !

Ce « new way of eating on the go »
a été lancé par l’Italien « Kono Pizza » et son concurrent Américain « Crispy Cones » -ou vice et versa- en 2005.
Et leur concept de dégustation portable, croustillante, rapide et familière a déjà conquis quelques grandes villes mondiales.

Pour le moment, les italiens restent classiques dans la composition des pizze côniques tandis que les amé-
ricains les rois du «plus de-tout le temps-pour tous» s’en donnent à cœur joie. Crispy Cones propose des versions pour petit-déjeuner, déjeuner, dîner, le dessert… sans gluten, aux farines variées, façon taco pour le chili… Le fameux "act local" que l'on retrouve aussi dans les ingrédients.

Un exemple d’innovation incrémentale évoluant sur les tendances de praticité
et de nomadisme. Ou comment faire d’un produit historique, basique et convivial, un produit ludique, pratique et
« environnemental friendly ». Sans oublier une nouvelle opportunité de business !

Maintenant on va pouvoir jongler avec le portable dans une main et la «conizza »
de l’autre sans faire de dégâts ! A quand Paris ?

www.konopizza.com et www.crispycones.com

mercredi 3 octobre 2007

Grosse faim de savoirs !



« Cap sur l’innovation »

La dépense énergétique, le défoulement graphique tout cela est bien exutoire n’est-ce pas ? Maintenant allons
donc voir du côté de la nourriture intellectuelle. Celle
qui vous rafraîchit la tête et réinitialise vos neurones.

Direction, le sésame des ingénieurs : le Cnam ! En plus long, Conservatoire National des Arts et Métiers. Cet établissement national public, qui existe depuis 1794, a trois vocations principales : former les adultes tout au long de leur vie, la recherche technologique ainsi que la diffusion de la culture scientifique et technique -of course !-.

En pleine réflexion sur mon avenir, j’ai, pendant quelques mois, eu à loisir de participer aux Mardis de l’Innovation en tant qu’auditrice libre. Un vrai régal !
Une bouffée d’oxygène ! Un balayage historique, technologique et sociétal des fondamentaux de l’innovation, ses inspirations, ses freins… Le tout étayé par des retours d’expérience d’entrepreneurs français et internationaux. Tout ce que
j’aime : le conceptuel et le concret. Connaître un processus pour mieux en mobiliser les acteurs… Une vraie jubilation intérieure qui en dit long sur mes frustrations du moment et aspirations ! Comme j’aimerais retrouver cet état d’esprit collectif déjà vécu -oui oui ça existe- nourri de réflexions, de création, d’expertises variées…

Au final pour la rentrée d’octobre -c’était avant hier-, j’ai sauté le pas de la formation : mardis et jeudis gestion et marketing de l’innovation à fond ! 3h
par soir, 6h par semaine avec validation des connaissances à chaque semestre…
Qui dit que je ne suis pas motivée ??

Et hop, une corde de plus à mon arc tendu vers l’innov…action !

Les mardis de l’innovation de 18h15 à 21h.
Plus d’informations les programmes des conférences libres d’accès sur www.cnam.fr

jeudi 27 septembre 2007

Gribouillages libératoires

"A vos crayons !"





Envie de
changer
d'air,
de vie,
de...
patron ?




L'illustratrice Claire Faÿ peut nous aider à passer le cap, en retrouvant nos plaisirs d'enfant, avec son dernier "cahier de gribouillages pour ceux qui rêvent ou veulent tout plaquer".

Adultes stressés ou lassés de votre emploi, abandonnez vos souris et écrans plats, ressortez vos crayons de couleurs et plongez joyeusement dans le monde facétieux de Claire.

Le petit cahier d'écolier au graphisme singulier vous incitera à : vous affirmer...
en cochant des cases, provoquer votre chance... en complétant des trèfles, dessiner ses copains... de galère, découper la clé des champs...

Que des jeux rigolos et défoulants à souhait, avant de, pourquoi pas,
faire le "vrai" grand saut ?



Néanmoins, si chez certains l'ennui ne fait
que pointer, l'année dernière à la même heure, Claire nous avait concocté son premier opus "Cahier de gribouillages pour les adultes qui s'ennuient au bureau". Un condensé de petits exercices pour pouvoir enfin lâcher
la pression !


Cahiers de gribouillages aux Editions
du Panama.

jeudi 20 septembre 2007

Qi, souffle de vie


"Harmonie énergétique"

La culture chinoise est à l’honneur
aux Temps du Corps. Par l’apprentissage des arts énergétiques et martiaux,
c’est tout l’art du mieux-vivre asiatique que l’on embrasse. Conférences, ateliers, voyages, l’association nous emmène plus loin si on le souhaite.

Après les rythmes endiablés, me voilà à faire du Qi Qong -prononcez tchi kong-
mais pas n’importe lequel. Parmi celui qui nourrit de l’intérieur -ney yang gong-,
celui qui fait retrouver le printemps, celui des 5 animaux -wudang qi qong-,
celui de la femme, du rein, de la vitalité…

Euh.. j’ai choisi celui conseillé pour les débutants le Dao Yin Sheng Gong :
celui qui conduit l’énergie par le mouvement. Très, très lent le mouvement d’ailleurs. Une heure de lenteur égrainée par le son de la professeure qui nous détaille les méridiens que nous faisons travailler. Très intéressant car c’est tout
le contraire d’un cours de cardio.

Tout est en relaxation, tension et compréhension. Les images sont poétiques : imaginez pousser un bateau avec toute la « zénitude » possible, prendre l'énergie
du ciel pour s'ancrer dans la terre... Justement, ce n’est pas du chinois sauf quand elle compte.

Des gestes simples, souples, doux, lents (toujours) sur lesquels vient se caler une respiration naturelle. L’enchaînement de base de 8 mouvements permet de faire circuler l’énergie dans le corps et d’entretenir un mieux-être permanent.

De plus, ce sont des mouvements que l’on peut faire chez soi, idéalement tôt
le matin… avant d’affronter le brouhaha de la ville.

Une autre manière de faire le vide.

www.tempsducorps.asso.fr

mardi 18 septembre 2007

Bouge, bouge ton corps !


« Rythmes caraïbes »

Je n’ai pas failli à ma rentrée très sportive ! Point de méthode Pilates
ou de Gyrotonic dans ce qui suit. Rien que l’envie de se dépenser en se faisant plaisir
et faire corps avec soi.

Alors, pour le fun, j’ai essayé les cours d’une école de danse qui vient de voir
le jour : Caribailes. J’étais vraiment motivée par la pléthore de danses proposées,
résultat : 7 heures de cours en 3 jours.

Amis friands de danses afro-caribéennes tenez-vous ! Une cascade de cours
dans lesquels vous pourrez puiser inspiration pour vos exploits sur la piste,
seul ou en couple.

Danses africaines traditionnelles et cours de coupé/décalé, de n’dombolo -ce nom sonne comme un plat- de makossa…. Vers Cuba : la « salsa» de verdad ! : salsa cubaine, salsa mambo, son... Haïti chérie et Saint Domingue : merengue, bachata. Agora vamos ao Brasil com a samba, o afro-brasileiro e a capoeira tambèm !
Puis, on repart vers l’océan indien pour danser le roogai créole.
Et bien sûr, n'oublions pas les danses urbaines : hip hop, new style, lady style, funky, reggaeton , etc… Bref, de quoi danser comme dans les clips et être « top styleee» !!

En sus des cours « classiques », cette académie de danse, propose des cours thématiques pour perfectionner tours, guidage, rythme… ! Le seul petit hic, c’est que la majorité des cours sont vers Gambetta, 20è et par conséquent excentrés.
Cependant, ils ont eu la bonne idée de les répartir dans le 10è ar., le 92 et le 95.
Comme ça, pas de parisianisme, que du plaisir !

Pour vous tenir informés des nouveaux cours gratuits ou non, stages et offres, allez régulièrement sur leur site : www.caribailes.com

A partir de ce mois-ci, Caribailes a une année pour exister durablement.
Bonne chance !

mercredi 12 septembre 2007

Mode Nouvelle Femme


« Balades russes »

L’année dernière, une amie m’avait fait découvrir les oniriques créations Shakespeariennes de Claire Châtaigner mais
je n’avais eu l’occasion d’assister ni à son défilé, ni à son showroom.
Et bien pour cette saison, c‘est fait !!

Claire nous ouvre ce mois-ci son armoire pour nous dévoiler sa 2ème collection de prêt-à-porter : « Bons baisers de Russie ».

Croyez-moi, l’hiver sera doux (laine et cachemire), chaud (cols hauts), féminin (mousseline de soie, nœuds soulignant tailles et hanches) et d’une rare élégance
(8 créations déclinables dans des tons de gris, d’ivoire, de bleu d’encre…).

Je pense que vous allez vous faire de nouveaux amis avec ces modèles à l’accent russe, choisirez-vous Ivan, Pavel ou Nikolaï ? Ou peut-être vous mettrez-vous dans
la peau de la timide Yékatérina ou de la moderne Anna ?

Pour en savoir et voir plus, vous pouvez rendre visite à Claire sur son showroom
ou sur son site www.larmoiredeclaire.com

Beau départ, pour cette créatrice non issue du milieu de la mode et qui a la sensibilité de suivre ses envies et rien que cela !! Une petite marque qui ne restera pas longtemps confidentielle.

L’Armoire de Claire
Vente en showroom les dimanches 23 et 30 septembre et lundi 1er octobre
Lieu : Restaurant de L’Hotel, 13, rue des Beaux Arts – Paris 6

jeudi 6 septembre 2007

Humeur de Septembre


" C'est la rentrée ! "

Cette semaine, c’est la rentrée !!
On pourrait se réjouir finalement car c’est comme une deuxième nouvelle année. On est plein de bonnes résolutions, les mêmes qu’en début d’année d’ailleurs ! Pour ma part,
c'est reprendre le sport....

Bien sûr, la rentrée ne serait pas ce qu’elle est sans sa cohorte de mauvaises nouvelles : augmentation des matières premières, épuration des SDF urbains pour la Coupe du Monde de Rugby, baisse de prévisions de croissance prévue en Europe…
Ah ! le colosse Pavarotti est décédé… J’en passe et des « encore ». Heureusement qu'il y a de temps à autre un rayon de soleil qui daigne perçer cette grisaille ambiante.

Pourtant, La Halle aux Vêtements
nous avait préparé, cet été, à porter un autre regard sur le monde avec -pour la première fois- une campagne sans ostentation et pleine de fraîcheur enfantine.

Mais au-delà, de l’objectif purement mercantile de la marque, en effet, et si c’était nous, chacun à notre niveau, qui rendions le monde plus beau dans notre quotidien ? Belles aspirations, rencontres, réalisations...

A mûrir donc, avec le sourire.

jeudi 30 août 2007

Cuisines... américaines

« Pâte à tartes et pianos hollywoodiens »

Décidément les Américains n’arrêtent pas ! Après un été très « ratatouille » prônant réalisation de nos rêves et nostalgie gastronomique à la française, la rentrée continuera en cuisine avec cette fois-ci pour toile de fond les Etats-Unis.

Et là, deux films, deux mesures.

Tout d’abord « Waitress » une comédie douce-amère de la réalisatrice Adrienne Shelly.

Dans son sud profond, Jenna est très malheureuse en mariage. Serveuse chez Joe’s Diner, elle cuisine tous les jours de succulentes tartes surprises avec le profond espoir -et désespoir parfois- de s’en sortir. Pendant le récit de sa vie, nous assistons impuissants et salivants à la réalisation de tartes aux noms bizarres, reflets de ses états d’âme : « Je ne veux pas de l’enfant d’Earl », « misérable femme enceinte»...

Cependant, au-delà de l’humour et de la galerie de personnages attachants qui parsèment le film, ce sont des questions existentielles qui sont soulevées. Comment être mère et épouse sans sacrifier sa passion ? Quel est le sens de la vie ?… C’est, mine de rien, un petit film pas tarte pour deux sous.

Et moi, si j’avais à donner un nom de tarte à ce film ce serait : la tarte à la cendrillon ! Surtout n’y allez pas le ventre vide.
Sortie le 5 septembre.


Puis, "Le goût de la vie" -No reservations en vo- qui est une adaptation, à la sauce holly-
woodienne du film allemand « Chère Martha » de Sandra Nettlebeck.

Cette fois-ci, l’héroïne est chef dans un des restaurants les plus côtés de Manhattan. Sa vie pourrait se résumer à : boulot + perfectionnisme + rigueur = abnégation de toute notion de plaisir. Pas facile d’être sociale à ce rythme là… Et cela, jusqu’au jour où… certains évènements viendront perturber son existence monacale et l’initier aux plaisirs de la vie.

Une bluette romantique comme vous pouvez vous l’imaginer… Mais bon, vous y croyez vous aux ambiances de cuisines religieuses pour un grand restaurant ?
Sacré eux !!!

J’ai quand même une préférence pour l’original, disponible en DVD.
Sortie le 12 septembre.

vendredi 24 août 2007

Identités gastronomiques

« Graphisme à la carte »















A quoi êtes-vous sensible en premier lieu lorsque vous entrez dans un restaurant ?
La carte ? La signalétique ? La vaisselle ? Le contenu de votre assiette ?… L’harmonie générale ?

Et bien, dans « Identités graphiques et gastronomiques », Grant Gibson, journaliste
et critique d’art anglais, a sélectionné une quarantaine de restaurants interna-
tionaux, terrains d’expérimentations visuelles des studios de design les plus
« hypes » du moment : Karim Rashid, Pentagram, Frost Design…

Notre conception du culinaire évoluant, les graphistes designers se sont de plus
en plus investis dans la réalisation d’éléments personnalisant ces lieux de plaisirs
chargés de surprendre nos sens à tout va : carte de visite, décoration, boîte
d’allumettes, nappes, etc…

Destiné à un public sensible aux nouvelles tendances graphiques et design
dans les lieux de restauration, ce livre vous fera voyager et vous donnera, qui sait,
de l’inspiration.

En français dans le texte aux Editions Pyramyd et en anglais chez Laurence King.

mardi 21 août 2007

Art gastronomique chez Artcurial


« Exposition gustative »

Allez, je vous propose d’aller faire bombance du côté du 8è chic. Non, non, il ne s’agit pas d’une énième adresse de chefs fous dingues de cuisine créative mais plutôt de culture intellectuelle et artistique.

Cet été, Artcurial Exposition nous invite à cheminer autour d’un thème universel :
la gastronomie… dans l’histoire de l’art.
Ou la mise en avant des riches échanges entre l’art et la nourriture, que celle-ci soit magnifiée, « consumérisée » ou fantasmée ! Rien de tel pour surfer sur la vague culinaire
du moment.

Ainsi, au travers des regards d’une soixantaine d’artistes de tous siècles –des peintres hollandais du 17è à Will Cotton-, vous vous baladerez, en suivant le « menu » sentier de l’élaboration d’un repas jusqu’à la dégustation des desserts. Avec pour point de convergence, le laboratoire de toutes les saveurs, l’autel des futures agapes :
la cuisine. Mais attention, ne vous attendez pas à déambuler façon expo en famille avec jeux interactifs même si les œuvres s’expriment en trompe-l’œil, incrustations, tricot -et oui !-, et… je n’en dévoile pas plus ! Car là-bas, tout est luxe, calme
et gourmandise.

Hep ! Une petite information que vous ne trouverez pas sur le lieu hélas : pour aller plus loin que de vous mettre l’art à la bouche entre tableaux, installations vidéos, sculptures… le restaurant du Mac/Val*, Le Transversal, inventera un met pour l’occasion. Sinon, il vous restera le catalogue, compilation purement visuelle
des oeuvres exposées.

En tout cas, une exposition à déguster des yeux… Bon appétit !


Jusqu’au 21 septembre à l’Hôtel Dassault, Rond-Point des Champs Elysées – Paris 8
* plateforme expérimentale entre arts plastiques et gastronomie située à Vitry 94. Je vous en reparlerai.

lundi 20 août 2007

The Golden Durian experience

« For asian and other adventurers of taste only »















Hier, me prend une envie de sucre. Rien dans mes placards, pas envie de sortir… lorsqu’ illumination, je pense à ma malle aux trésors. Celle qui recèle les nourritures et boissons terrestres rapportées de mes voyages. Mais oui, j’ai un paquet de bonbons au Durian ! Ca tombe bien !

Et bien justement, connaissez-vous le Durian ? En avez-vous entendu parlé ?
Pour les néophytes des fruits tropicaux, c’est un fruit charnu avec une peau couverte de piquants et dont la chair est très appréciée des Asiatiques du Sud-est (pour ses vertus aphrodisiaques, entre autres…).

Par contre, son odeur -mélange de vomi des 3 repas du jour- donnerait des crampes d’estomac au plus téméraire d’entre nous. Voilà pour la rumeur.

Curieuse et en état d’hypoglycémie avancée, j’ouvre le paquet pour m’empiffrer de ces bonbons que je suppose crémeux comme les Krema. Un « pof » se fait entendre à l’ouverture. Tout de suite relayé par une petite odeur indescriptible qui provoque en moi un rictus nasal non maîtrisé. De toute manière, on ne m’avait parlé que de l’odeur et pas du goût. Alors, j’y vais, besoin de sucre ! De plus, c’est un produit transformé donc pas de panique.

La texture du bonbon est, en effet, crémeuse et le goût indéfinissable. Peut-être à cause de son statut tropical et de sa variable inconnue ? Vomi (rebelote), éther, ail et je ne sais quels autres qualificatifs - pour cela il faudrait que j’en goûte un autre mais non merci- et surtout cette présence qui reste en gorge jusqu’au lendemain.

Expérience intéressante et tenace donc : l’odeur a stagné dans le couloir. Obsessionnelle aussi, je croyais en sentir partout et en être constamment imprégnée. Et pourtant ce n’était qu’un petit bonbon de rien du tout !
J’ai mis de l’encens et ouvert les fenêtres. Peut-être était-ce pour cela qu’ils étaient emballés individuellement dans le paquet ? Je comprends mieux maintenant…

Néanmoins, si vous, vous souhaitez vous aventurer dans les méandres du goût, direction Paris 13è. En ce moment, la saison du Golden Durian bat son plein : gâteaux, glaces, fruits natures et congelés… Il y a de quoi satisfaire votre curiosité !
Pour ma part, je ne reste pas hermétique à une autre expérience avec ce fruit qui, serait un délice consommé mûr et choisi par des "experts" locaux... lors d'un prochain voyage.

PS : Aux dernières nouvelles, un chercheur Thaïlandais, aurait réussi à obtenir un Durian inodore. Mais un Durian inodore devient-il un fruit sans goût ? En tout cas, saluons cette « avancée » scientifique qui fera que ce fruit pourra être consommé par ses fans avec tout le plaisir qu’il procure, sans être banni des espaces publics.

mardi 14 août 2007

Comptoir des cotonniers


« Recettes en duo, la saga continue ! »

Vous n’échapperez pas à LA marque française des « vrais gens ». Celle qui, depuis 10 ans, fonde son concept marketing sur la complicité indéfectible mère-fille… dans leurs boutiques, s’entend !

Après avoir décliné sa communication au travers de registres vocaux (disques de chanson), littéraires (nouvelles), sportifs (tournoi de tennis en double) et j’en passe… Voici venu le tour du culinaire avec un concours de recettes de cuisine en partenariat avec le magazine Elle !

Oyez, oyez, mères et filles gourmandes, inventives et grandes partageuses de secrets de famille (qui n’en seront plus), voici le moment de vous mettre à vos fourneaux et d’envoyer vos recettes : entrée, plat ou dessert au choix. Elles se devront d’être très créatives, soit, mais faciles à réaliser.
Les 50 recettes, sélectionnées par un jury de gastronomes, figureront dans un livre édité par Le Cherche Midi au printemps 2008. Et pour, la cause des femmes atteintes d’un cancer du sein, l’enseigne s’engage -vous aussi d’ailleurs- à reverser les droits d’auteurs de la vente du livre à l’Association « Vivre autrement ».

Petit rappel : vous avez un mois pile : avant le 15 septembre 2007 cachet de la poste faisant foi… pour adresser vos réalisations culinaires à la maison d’édition.
Plus d’informations sur le site de la marque.

Que nous réserve-t-elle pour ses prochaines campagnes ?

samedi 11 août 2007

Ra-ta-too-ee


« Ragoût estival »

Tiens, cet été, Disney/Pixar a eu la bonne idée de nous régaler d’un dessin animé de saison.

Ratatouille, un brave petit gars, euh.. petit rat rêvant de devenir chef à l’instar de son modèle Auguste Gusteau de Paris.
Ce Gusteau qui, mystérieusement décédé après que son restaurant ait perdu une étoile -Ca ne vous rappelle pas quelqu’un bien de chez nous ?- encourage le petit rat dans ses moments de désespoir.
Bien sûr, ce rattus norvegicus -rat d’égout quoi-, a la part belle dans cette histoire : il nous est rendu sympathique par son talent culinaire et sa personnalité de chef d’orchestre, son savoir-faire de meneur d’hommes, vous comprendrez pourquoi …

Alors, la ratatouille pour petits et grands c’est :

- 500gr de péripéties
- 500gr d’amitié
- 500gr de rythme en cuisine
- 1kg de Paris nostalgique
- 4 beaux oignons à vous tirer les larmes
- 1 bouquet garni d’amourette
- 4 gousses de caricatures
- du sel d’intrigue
- du poivre de vilenie « Waltdisney-esque »
- de l’huile d’accordéon

Vous en reprendrez bien un peu ?
C’est plaisant et autrement rafraîchissant que les Simpsons.

jeudi 9 août 2007

St Amour




« Vin du jour »

En ce 9 Août 2007 et un 2ème décan bien entamé, le soleil n’est pas vraiment au zénith.

C’est la St Amour aujourd’hui et l’occasion de se parer d’un rayon de soleil. Pour cela, pas besoin d’un dîner tendresse pour savourer la bouteille que l’on m’a offerte l’année dernière. Un apéritif entre amis suffira.
La bouteille de circonstance donc : un St Amour, Château de Belleverne médaille d’or 2006.

Sans prétention aucune de jouer à l’apprentie œnologue, je dirais que goûter à ce cru du beaujolais, c’est l’assurance de profiter d’un vin de charme à la robe rubis et aux arômes épicés apprécié par tous.

Merci à ces vignerons indépendants (plus d’un millier de médailles décernées
en 2006) au travail passionné et respectueux de la vigne et de son terroir.